Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
Tout s'est arrangé très vite, un enchaînement de relations et de circonstances et me voilà, en une semaine, logée dans ce beau loft soudain libéré par sa propriétaire Betty repartie à l'étranger, prête à affronter ma nouvelle affectation, enfin à Paris, un monde pour moi en regard de ma province natale.
Tout le monde a été si gentil, et mêmes ces inconnus et inconnues que sont mes voisins dans cet immeuble, en tous cas tous ceux que Betty a eu l'occasion de me présenter m'ont semblé sympathiques, décontractés, abordables.
Et surtout, je l'avoue, ce voisin de palier, "mon" voisin. Pas mal craquant avec son regard lumineux, son sourire à fossettes et sa nonchalance étudiée façon "f o r c e tranquille". Il est flic, si je me souviens bien ce que m'a raconté Betty à toute vitesse sur les uns et les autres. Flic, quelle drôle d'idée... Mais flic comme on les fait maintenant : qui n'en a pas l'air et qui peut sans doute facilement se fondre dans la faune de cette jungle sauvage...
Quand même, cela me fait tout drôle de me retrouver quasi seule dans cette ville, sans mes repères, l'impression de plonger dans un univers inconnu dès que je mets le pied dehors, fût-ce pour aller acheter des croissants en face. Mes croissants du dimanche ; les voici tout frais, je sens leur chaleur tandis que je les serre dans leur sachet de papier sur ma poitrine, il fait un peu frais pour sortir en chemisier; je m'engouffre dans l'ascenseur. Voyons, que vais-je bien pouvoir faire aujourd'hui qu'il n'y a rien à faire ? Longue ballade ? Longue sieste ?
Tiens, "sa" porte est entrouverte ? Je me demande... Mais je comprends tout de suite quand je me tourne enfin vers ma porte : il se tient devant, tout sourire.
- Vous étiez sortie ! Je me demandais si vous aviez du lait ? Je suis en panne de lait ! Et, Robert et moi, si on n'a pas notre lait du matin, on ne fonctionne pas tout à fait. Robert, c'est mon chat. Vous auriez un peu de lait pour les deux célibataires ?
Je suis abasourdie, je n'ai pas encore pu ouvrir la bouche, ni commencer à penser, je tiens mon sachet de croissants à deux mains, je regarde ma porte, je le regarde lui. Qu'est-ce que je dois faire maintenant ? En plus, son regard droit et franc m'intimide, je dois avoir l'air complètement idiote !
-
Excusez-moi ! Je ne voulais pas vous déranger. Bon appétit et bonne journée ! Il a disparu. Une minute après, je suis à sa porte avec mon lait. Son sourire est chaleureux : il m'enveloppe d'une douceur qui me réchauffe.
-
Vous entrez prendre une tasse de café ?
Je fais un vague geste vers ma porte...
- Et si vous alliez chercher vos croissants ? Avec la tarte aux cerises qui me reste, cela devrait faire un petit-déjeûner très convenable ...
Ce petit-déjeûner m'a fait du bien : en plus de me restaurer, j'ai pu enfin apparaître comme une personne normale, capable de parler et même de faire la conversation à un charmant voisin. Cette conversation est un peu retombée maintenant, et tandis qu'il débarrasse la table et est occupé à la cuisine, je me lève et tout en me dirigeant vers le grand espace avec les fenêtres tout au bout, je regarde le contenu des quelques étagères.
Quelques bouquins littéraires, pas mal de policiers (ben voyons !) et du voyage : plutôt l'Afrique, il me semble... oui, quelques bibelots, les statuettes et bols habituels, un chasse-mouche et (aïe, ça doit faire mal) une petite cravache de cuir à trois branches et...
Oh! Que c'est incongru ! Une paire de menottes ! Toutes métalliques, brillantes, épaisses ; elles semblent lourdes, et pourtant comme négligemment pendues là. Pourquoi là ? Elles semblent dures, impitoyables. Ça doit être drôlement efficace, ces trucs-là. J'imagine les poignets entravés, bras tendus. Comment en sortir ? Cette masse métallique et froide qui pèse sur les poignets, qui tire les bras et jusqu'aux épaules. Capturé. Prisonnier. Entravé.
Capturée. Prisonnière. Entravée. Je sens les battements de mon cœur. Je tends les doigts vers les cercles de métal, j'en ressens la froideur, j'ai envie d'en vérifier le poids, je touche les chaînes, leur sorte de douceur... Pourquoi mon cœur bat-il si fort ? Je le sens dans mes tempes... C'est comment d'être menottée ? C'est comme d'être coupable ? Tout s'écroule, la terre s'effondre sous les pieds ?
- Vous voulez les essayer ?
Oh! Comment ose-t-il ? Comment peut-il savoir ? Je... Je suis de nouveau là, muette, comme si... Me voilà presque embarrassée. Que dire ? Quelque chose à dire, vite ! Ça y est, je rougis... Non, je vais me rattraper... Il ne va rien voir...
- Tenez, examinez-les à l'aise. Ce sont des vraies, vous savez ?
Pourquoi est-ce que je n'ai toujours rien dit ? Pourquoi est-il si à l'aise et moi si peu ? Il faut que je trouve quelque chose... Non, mais ! Je ne suis quand même pas si cruche !?
Je les prends pourtant sans mot dire. Maintenant je n'ose plus le regarder et me voilà tête baissée à triturer ces bidules métalliques... Entravée... Je ne peux m'empêcher de penser aux bras tendus, mes deux bras tendus, les poignets prisonniers et lourds... Je ne pense plus à rien... Je ne sais plus où je suis ... Comment c'est, d'être menottée ? Prisonnière ?
J'émerge lentement de ma rêverie, dans un état second, je relève les yeux. Il est là, il me regarde calmement. Pas moqueur ou distrait. Attentif, au contraire, respectueux, presque grave. Je le regarde sans le voir, mais je le ressens. Je ressens qu'il est simplement là et que je suis en sécurité. Je ne pense plus, je lui tends l'objet comme pour lui rendre, les menottes sont dans mes mains, lourdes, au bout de mes deux bras qui lentement se tendent vers lui.
Je les regarde, je ne sais plus, je baisse les yeux, je ne dis rien, je ferme les yeux. Il prend les menottes de mes mains et je reste un instant avec mes bras tendus dans le vide. Il met maintenant ses mains sur mes poignets -je ressens leur chaleur- il me fait baisser les bras -je me laisse faire- il ne dit rien -je garde les yeux fermés.
Je respire un peu plus calmement. Tête baissée, je n'ai pas ouvert les yeux. Tant pis, c'est trop tard, je n'ai plus envie d'ouvrir les yeux. C'est trop tard, je ne veux plus avoir de volonté, je me laisse aller, je me laisse glisser dans le silence qui s'est maintenant installé, je me laisse immerger dans l'inconnu d'avoir les yeux fermés. Je ressens maintenant mes bras baissés le long du corps. J'ai chaud partout, dans mes escarpins, dans mes jeans, dans mon soutien-gorge et mon chemisier. Silence.
Maintenant, il reprend mon poignet gauche et l'enferme dans un claquement métallique. De même, de l'autre côté, il prend mon poignet droit et le cercle froid vient l'épouser et l'enfermer. Nouvelle ponctuation métallique. Cela est bien. Je sens un peu le froid du métal, surtout le poids sur mes poignets. C'est comme je pensais : cela tend les bras vers le bas, et un peu les épaules. Et puis la tête aussi, largement penchée maintenant, comme celle d'une vaincue, d'une prisonnière, d'une coupable. Mes bras ainsi rassemblés devant moi pressent un peu mes seins l'un contre l'autre, ma respiration est à nouveau plus oppressée.
Je sens maintenant que l'on tire sur les menottes, me faisant relever les poignets et les bras. Je préfèrerais qu'il me laisse dans ma rêverie, bien au chaud, mais il en est autrement : me voilà avec les bras à l'horizontale et on dirait qu'il pend la chaîne des menottes à un crochet à hauteur d'épaules.
Ce n'est pas de cela que j'ai envie ... il va tout gâcher ma rêverie... je ne suis pas d'accord... et qu'est-ce qu'il fabrique, d'abord ? S'il n'arrête pas ça tout de suite, je vais ouvrir les yeux, je n'ai plus envie de...
Mais il est là derrière moi, il m'enveloppe de la chaleur de ses bras, il me murmure à l'oreille que tout va bien, que tout va bien se passer, que je suis en sécurité et qu'il est là, qu'il ne va pas m'abandonner. Et il me couvre les yeux, que j'ai toujours fermés, d'un large foulard qui semble très sombre. Me voilà plongée dans un noir profond et velouté; il me noue rapidement ce foulard derrière la tête, bien en place, et reprend aussitôt la chaîne des menottes et, lentement, m'oblige à lever les bras...
- Je...
Oh! Pourquoi fait-il cela ? De quoi j'ai l'air, les bras en l'air ? Pourquoi me tire-t-il les bras par les menottes ? Pourquoi mon cœur bat-il la chamade ? Je suis troublée et confuse... Comme si je savais que c'est cela qui doit être ? Et même que c'est ça que j'attendais ? Il me tire les bras plus haut -je suis dépliée- il continue doucement -je me tends- il va plus loin -je suis sur la pointe des pieds...
- Ah!
Il y avait un crochet au plafond !? Me voilà suspendue aux menottes, je referme les mains sur les chaînes, mes bras sont complètement étirés, seul le bout de mes pieds touche le sol... Oh, quelle sensation ! Qu'est-ce que c'est que cette sensation ? Qui suis-je ? Que suis-je ?
Pendue -c'est étrange- prisonnière -complètement- entravée, livrée, exposée -comme nue- si exposée, à la merci -j'ai peur- j'ai peur mais c'est bon, je sens mon cœur qui bat fort... que va-t-il se passer ? Je ne suis pas abandonnée ?
Non, il est de nouveau là, ses mains caressent mes poignets, mes avant-bras, le creux de mes coudes complètements tendus, cela me fait des frissons partout, je sens la pointe de mes seins, le bas de mon ventre... ses doigts pétrissent lentement mes bras maintenant, mes biceps, descendent à mes épaules et mes aisselles. Mon Dieu, que c'est bon ! Je ne peux pas m'empêcher de respirer fort ... qu'il n'arrête pas ! Je vais ...
Il s'arrête justement ! Je n'en peux plus, je respire fort, il doit voir que ça m'excite, quelle honte ... je suis folle ... oui ! Ca m'excite ! Il le sait, nous le savons tous les deux. Je vais... Il est derrière moi, maintenant, ses doigts sur mes épaules, il me caresse doucement les omoplates... puis les côtes... puis les flancs et les reins... Mmmh ! J'aime ! Je ne peux m'empêcher de me cambrer... je tends les fesses... Il s'arrête encore ! Ah, le salaud ! Il me le fait bien sentir que je n'ai rien à dire, que c'est moi la prisonnière, pendue au plafond comme ...
Je n'ai jamais fait ça, je suis folle ! Et s'il me laissait là, exposée à tous vents ? Et s'il arrivait quelqu'un ? "Bonjour, je vous présente ma nouvelle voisine pendue au plafond, on peut toucher, ne vous gênez pas, elle adore ça!" Quelle humiliation ! J'ai chaud... cette pensée m'excite... j'ai envie de ça... qu'il me touche... j'ai envie et j'ai peur... et c'est bon... c'est vrai que j'ai envie qu'on me touche, là, quelle dévergondée je fais !
Où est-il ? Je sens intensément tout mon corps complètement étiré et mes vêtements qui l'empêchent de se livrer librement à cette entrave verticale radicale. Je devine qu'il est de nouveau devant moi, il entreprend justement de déboucler ma ceinture ... oui, libère-moi... cliquetis... il s'attaque au premier bouton de mon jeans... ça y est, mon ventre est libre, les autres boutons se défont en un mouvement, mon jeans s'ouvre... s'écroule à mi-cuisse... Oh! Je suis à moitié nue, maintenant... on voit ma culotte...
Il va m'enlever mon jeans ? Et non, il me le laisse là, comme il est tombé... comme si j'avais été surprise en train de me déshabiller... en train de me toucher plutôt : je prends tout à coup conscience que ma culotte est trempée... cela doit se voir... il doit le voir... peut-être même que cela sent... il doit le voir et même le sentir... je rougis, j'ai chaud... il doit savoir que je mouille, et que je préfèrerais être toute nue plutôt qu'à moitié déculottée et mouillée... et il le fait exprès, et cela me met dans tous mes états.
Oh! Ses doigts sur mon ventre... ses doigts fermes qui dessinent des cercles sous mon nombril, et de plus en plus bas... jusqu'au bord de ma culotte... ils appuyent sur mon bas-ventre... maintenant, à chaque cercle, ses doigts m'effleurent les poils sous l'élastique de la culotte... et ma culotte commence à descendre... et ses doigts commencent à appuyer plus fort... et il me tire la culotte vers le bas, par le mouvement de sa main devant, et en tirant aussi dessus par derrière...
Devant, ses doigts insistent aux aines, font pression sur mon bas-ventre, ça fait un peu mal... sur ma vessie... voilà que j'ai envie de faire pipi, maintenant, à f o r c e d'appuyer... derrière il continue à me découvrir lentement les fesses... je suis tourneboulée de toutes ces sensations : douceur et douleur, chaud intérieur et fraîcheur d'être mise à nu... il me libère mais trop doucement... il m'impose cette excitation des sens mêlée de gêne... Envie de faire pipi, envie qu'il me touche, envie qu'il me déculotte, envie de sensations plus fortes ...
Et de nouveau il finit par me laisser en plan ! Ma culotte est maintenant aussi à mi-cuisses ! Impossible de ne pas sentir l'odeur de mon excitation : on ne sent que ça ! On ne doit voir que ça aussi : le fond de ma culotte toute mouillée et mon cul nu ! Comment est-ce que je peux aimer ça ? Je n'en peux plus ! Qu'on en finisse ! Qu'il me finisse ! J'ai trop envie... envie... Bon, qu'est-ce qu'il fabrique maintenant ? Où est-il passé ? Je n'entends plus rien... Zut ! Zut ! Je suis folle de m'être laissée aller, cela va mal finir... Après tout, je ne le connais pas, ce mec... Et s'il rameute tous ses copains, maintenant ? Et ma réputation, il va en faire ce qu'il veut de toute façon ! Oh, la honte ! Tu parles d'une conquête de la capitale ! Prisonnière, oui. L'oie blanche de province dans la gueule du loup ! L'écervelée piégée par le premier venu !
Est-ce que je n'ai pas entendu une porte ? Et les fenêtres ? Où sont les fenêtres ? Derrière ou devant moi ? Il y avait des rideaux ? Est-ce que je n'ai pas senti un courant d'air ? Cette fois-ci, j'ai la trouille, le ventre noué, une vague de picotements dans le dos, sueur...
- Vous êtes belle exposée ainsi pour moi ...
Ah, la vache ! C'est comme s'il avait attendu que je craque pour manifester sa présence, et son pouvoir... Dieu, que j'ai eu peur... Qu'est-ce qu'il m'en fait voir... mais il est là maintenant... tout près... je sens son souffle près de mon visage... dans mon cou... je frissonne à nouveau... il s'attaque maintenant prestement aux boutons de mon chemisier, en écarte enfin les pans... mes seins sont dressés, mes pointes s'épanouissent encore plus, poussent le tissu dentelle de mon soutien... ses mains glissent dans mon dos pour en défaire l'attache...
Oui, libère-moi plus, dénude-moi encore, expose-moi mieux, joue de moi, touche-moi... Oui, mes seins, oui, touche-les, oui, flatte-les, soupèse-les...
- Oui...
- Oui ?
- Nnh...
Oui, encore, caresse, empoigne, griffe, pelote, triture, pince, oui, oui, c'est bon, les bouts, encore, pince-moi les bouts, oui, encore, plus fort !
C'est bon, il sait que c'est bon, il sait que j'ai envie, il sait ce que je veux, il a percé mes secrets, il a pris possession de moi, je suis à sa merci, je le veux, je veux être à lui, je veux...
Ah! Voilà qu'il m'abandonne à nouveau... Non, c'est trop ! Je suis encore plus exposée, ainsi dépoitraillée, le soutien en pétard, et toujours les fesses à l'air, la culotte aux genoux et les yeux bandés... Quel spectacle ça doit être ! Victime consentante, en plus... Je dois être folle... Il va me rendre folle...
Soudain il dénoue le foulard qui me masquait les yeux, je suis en pleine lumière maintenant, je ne peux m'empêcher de le regarder mais quand il me regarde, je détourne les yeux. Alors il prend mon menton dans sa main et m'oblige à le regarder.
- Saviez-vous que vous aimez cela ?
- Quoi ?
- Allons, c'est assez clair dans votre position, regardez-vous !
Oh, non ! Pourquoi, il fait cela ?
- Je... Je ne sais pas...
- Oui, vous aimez cela... vous aimez être attachée... dites-le moi...
- Je... oui, j'aime cela.
- Regardez-moi... dans les yeux... dites-moi ce que vous aimez...
Ça y est, je me sens rougir de nouveau... la honte, si on me voyait... rougir... un comble, dans ma position ! Il me possède complètement, il va remuer ces sentiments confus au fond de moi...
- Je... j'aime que... j'aime être... attachée... menottée... j'aime être... pendue au plafond... j'aime être... déculottée... et j'aime... être...pelotée...
- Demandez-le moi...
- Je... Voulez-vous...
- Allons, demandez !
- Touchez-moi... touchez-moi les seins... touchez-moi les bouts...
- Vous aimez que l'on vous touche le bout des seins, n'est-ce pas, comme ceci ?
- Oui... oui...
- Et vous aimez quand on vous les pince fort, comme cela ? Dites-moi ?
Oh mon Dieu, oui, j'aime ça ! Quelle honte ! Quelle humiliation ! Et de me le faire dire ! Je rougis encore plus, si c'est possible...
- Je... oui... j'aime...
- Demandez !
- Pincez-les... moi... fort... Aah !
C'est trop, je sens que je vais jouir...
- C'est bien, je vous le ferai encore, si vous venez me le demander...
Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ?
- Maintenant, je vais vous détacher et vous laisser vaquer à vos occupations dominicales comme je vaquerai aux miennes ...
Mais quoi ? Où suis-je ? C'est fini ? Il me détache prestement, m'aide discrètement à me rhabiller.
Je... Il y avait des menottes, non ? En un tour de main, c'est comme si de rien n'était. Et son sourire lumineux est de nouveau là ! Et cette chaleur et cette aisance rassurantes ...
Je n'ai pas rêvé quand même ? Non, je me surprends à me masser les poignets un peu douloureux. Et puis je suis encore "toute chose", moi, je frissonne... j'ai froid... il m'enveloppe d'un grand pull et me prend par l'épaule en m'emmenant vers la table.
- Une tasse de café, pour se réchauffer ?
Je regarde derrière moi, les fenêtres sont bien loin... mais sans rideaux. Je frissonne encore un peu. J'ai les jambes en coton. Je me laisse asseoir à la table. Le bol de café me réchauffe doucement les mains. Je suis bien.
- Vous savez, je peux vous les prêter, les menottes, si vous voulez. Mais attention de ne pas égarer la clé !
- !?
Que c'est bon de rire ! Vive le dimanche à Paris !
Sonia
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